En France, le numérique au service de l’éducation met à disposition de nouveaux outils pédagogiques et personnalise davantage les apprentissages en motivant les élèves. Petit tour des idées reçues sur le numérique à l’école. Retrouvez l’intégralité de l’article en bas de page !

Idée reçue #1
Trop d’écran, c’est dangereux pour les enfants

Il est vrai que la surexposition des enfants aux écrans peut être à l’origine de troubles de l’apprentissage, de la concentration et du comportement. Alors pourquoi introduire les écrans à l’école ?

Idée reçue #2
On va remplacer les professeurs par des tablettes

L’enseignant n’est pas dépossédé de son rôle : il est justement au cœur du dispositif !

Idée reçue #3
Le numérique ne marche que pour quelques matières

Le numérique à l’école peut enrichir toutes les matières, car ses usages sont presque illimités et applicables partout, même en EPS !

Idée reçue #4
L’éducation numérique, c’est compliqué

Le numérique est une nouveauté pour les élèves, mais aussi pour les enseignants. Pour eux, il peut sembler difficile de changer de méthode d’apprentissage. Pourtant, avec les bons outils et une aide à la prise en main, l’éducation numérique n’est pas si complexe.

Idée reçue #5
Ce n’est pas assez sécurisé

Serveurs hébergés en France, matériel français, logiciel central pour administrer tout un parc… Grâce à ce cadre de confiance, l’éducation numérique peut se déployer en toute sécurité dans les établissements scolaires.

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UNOWHY, partenaire du salon In-Fine, présentera sa solution SQOOL. Plus grand rassemblement annuel des acteurs du Numérique pour l’Éducation, In-FINE propose 4 mois d’évènements innovants, virtuels ou en présentiel, de mars à juin 2021.

Un projet innovant qui répond aux impératifs de continuité pédagogique et réduit la fracture numérique. Lancé à la rentrée 2020 par le Ministère de l’Education Nationale, le projet des « Territoires numériques éducatifs » met à disposition équipements, accompagnement, formations adaptées et ressources pédagogiques dans les départements de l’Aisne et du Val d’Oise. D’autres départements sont amenés à être équipés.